C'est pour nous et pour beaucoup, THE évènement drift américain de l'année, le Japon à ses Matsuri, les US on le Star Bash. La chaleur est difficile à tenir, pour se rafraichir, prévoir des litres d'eau, un Chevy Tahoe avec la clim ou mieux encore, mettre les gaz tout en travers en espérant que le vent sec vous sera favorable.
Les environnements désertiques sont des zones de drift atypique, un décor précieux pour glisser avec rien d'autre que son capot à l'horizon.
Une piste de Hot Wheels où les meilleurs comme les novices se croisent et s'entrecroisent tous pneus fumant. On repère la présence de quelques pilotes connus comme Michael Essa ou Luke Pakula.
Comme tous Star Bash, il faut prévoir de la pièce de rechange, car de la casse, il y en a toutes les demi-heures. Entre les moteurs qui tiennent difficilement la température et les accrochages, le budget peut vite dépasser.
Comme l'an passé, un flot de Silvia envahit le terrain, il n'était pas si loin le temps ou Matt Powers mettait le feu aux sables en étant un illustre inconnu.
Maintenant c'est sous les couleurs de NFS qu'il éclate du pneus et ça lui va très bien comme ça.
D'autres comme Justin Pawlak retrouve leur source, il a repris sa FC, inséparable, je pense bien qu'il ne se fait toujours pas à sa Mustang.
Un cabriolet Silvia sous ce temps, c'est pas désagréable.
Le mythe de la KE70 est partout, surtout en plein désert cette caisse est indestructible.
J'avais parlé de cette étonnante Legacy Drift Union, pour rien au monde ils n'auraient manqué ça.
John Rusakoff en profitait pour dégourdir les pneus de sa 86 à moteur de S2000.
Tout ceci c'était pour mettre dans l'ambiance, partie 2 à suivre.
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